• Mademoiselle a revêtu sa collerette de meringue italienne. Mademoiselle s'est gorgée de crème pâtissière. Mademoiselle se regarde dans le miroir : oui, cette belle pâte à choux, qui serait presque un bijou, c'est moi, Mademoiselle. Mademoiselle est élégante, distinguée et rien, non vraiment rien ne peut lui résister.
    Bien sûr, le merveilleux Royal Chocolat pense lui porter quelque ombrage : délicate dacquoise praliné côtoyant la noisette feuillantine, coiffé d'un velours chocolat noir...Oui, lui aussi, il sait caresser l'oeil, il sait agiter les papilles.
    D'ailleurs qu'est-ce donc que ce regard pétillant, observant ce défilé de parures gourmandes : mais, c'est Choupinette la coccinelle. Elle aussi participe donc à cet étrange fashion show  ? Elle s'est voulu sexy, fondante pour les goulus : mousse chocolat, dacquoise, chocolat noir. Hum...Qui remportera le privilège d'être élu roi du palais ?

    La pomme sourit : la Tentation est grande ! Biscuit madeleine, mascarpone, mousse de fruits, coulis de fraise. Une bouche s'approche, s'apprêterait-elle à croquer ?

    Non, Monsieur veut gagner. Monsieur s'avance, fier il expose son marron fondant, ses arômes vanillés, son petit goût de miel. Monsieur lance un regard, il est plein de superbe. Tiens, Monsieur cache même un peu de pomme...croquée ?
    Oui, car Monsieur s'est montré séducteur, charmeur auprès de Mademoiselle. Et ce n'est pas sans surprise que des mini Mademoiselle et Monsieur s'exposent derrière la vitrine. 
    Et puis, les dames Guimauve déposent en votre bouche des bulles de tendresse : fraise, vanille, chocolat...Que de robes à découvrir !

    Oui, dans cette pâtisserie se trouvent des collections d'effets non secondaires, révélateurs de sens. Mais qui donc se cache derrière tous ces ornements ? Un diable qui se plaît à se déguiser en gâteau, un "bon" ptit diable, Tony qui a vécu en Italie et aux Etats Unis, qui a fait ses classes chez des grands noms de la restauration à Lyon, et qui aime ce qui est bon...et savoureux.

    Venez partager en démon de la gourmandise ses ateliers de pâtisserie, ses créations d'enfer, ses inspirations de génie et qui sait...vous risquez de vous retrouver au paradis !

    Parce que "Le diable se déguise en gâteau", est le seul endroit sur Terre où vous pouvez prendre rendez-vous avec le diable pour connaître le  Paradis !
    Son ptit numéro : 06 46 61 44 98 


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  • T'as vu Tabio ? 
    Des chaussettes extrêmement agréables à porter mais aussi des collants sexy. Tiens pour la Saint Valentin, tu veux te la jouer glamour et humour ? Alors opte pour le collant noir avec des petits coeurs dedans et un gros coeur rouge...à découvrir...Cherche et tu trouveras !
    Et pour une soirée chic ? Pas d'hésitation, tu peux chausser le collant doré subtilement. En plus, il ne démange pas quand on le porte. Pour un look fun et cool à la maison, les footsies : effet liberté garanti pour chaque orteil du pied. 

    Tabio  est une marque fondée par Naomasa Ochi. Depuis 1968, elle propose des collants et chaussettes confectionnés dans la province de Nara. Son savoir faire se perpétue entre les générations dans le respect des traditions familiales. Les modèles sont proposés à un prix de vente entre 16 et 48 euros.

    Tabio : c'est un cocktail de chic, d'humour, de glamour et quelques brins de folie. Et moi, sincèrement, j'ai aimé cela ! 


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  • 1800 La mode est aux ongles courts, légèrement en forme d’amande. Ils sont de temps en temps colorés grâce à de l’huile rouge parfumée et la brillance est apportée en frottant les ongles avec de petits mouchoirs en cuir.
    1830 En Europe, un médecin nommé Sitts a l’idée de détourner l’ancêtre de notre fil dentaire, autrefois des bâtonnets en bois d’orange, et de l'utiliser pour repousser les cuticules en manucure. Une bénédiction, car à l’époque, les cuticules sont repoussés avec des ciseaux, ou n’importe quel outil en métal, ou bien enlevés à l’acide ! Formidable pour les ongles !!!
    1892 La nièce du docteur Sitts rend la pratique de son oncle internationalement connue. La tendance se répand jusqu’aux États-Unis, où s’ouvrent des salons de manucure pour les femmes de toutes les classes.

    1900 Les ongles sont coupés avec des ciseaux en métal, et limés avec des limes, en métal également. Pour leur donner un peu de brillance, les personnes de l’époque les coloraient légèrement avec une crème ou une poudre. On était déjà dans une logique de coloration de l’ongle, l’ancêtre de notre actuel vernis, car ces préparations étaient apposées avec un pinceau en poil de chameau, mais les colorations ne duraient que le temps d’une journée.
    1910 L’entreprise "Flowery Manicure Products" voit le jour à New York. Elle produit des limes à ongles métalliques, et invente entre autres la fameuse "Emery Board", cette lime en carton allongée, recouverte du rugueux papier émeri, incontournable de toute manucure aujourd’hui.
    1914 Anna Kindred du Dakota du nord obtient un brevet pour son vernis de protection pour ongles. 
    1917 Une publicité parue dans le Vogue américain de l’époque déclare "Ne coupez plus vos cuticules" et propose la "Simplex Methode" : un set d’ustensiles de manucure comme on les connaît aujourd’hui. La mode des ongles brillants séduit de plus en plus de femmes et s’impose peu à peu comme la norme.

    1920 Les stars de cinéma de l’époque arboraient un maquillage dit "enfantin": de grands yeux, une large bouche, un petit nez. L’effet était encore accentué avec une coupe de cheveux courte. Pour les ongles, encore aucun véritable vernis en vue, mais l’industrie automobile est en plein essor et fait déjà des avancées spectaculaires en matière de vernis.
    1925 À cette époque, il est encore mal vu que les femmes arborent des couleurs voyantes en guise de manucure, la fameuse "étiquette". Un vernis rouge rosé transparent fait cependant son apparution sur le marché. On ne le porte qu’au milieu de l’ongle, la base et le bout des ongles restent naturels. Beatrice Kaye est responsable de la manucure au sein de MGM dans les années 20 et 30, et elle illustre la phase de la "mancure-lune". Les cuticules sont retirés, et l’ongle ainsi plus long est taillé en pointe. Le vernis est appliqué sauf à la base. Parfois, le bout de l’ongle n’est lui non plus pas vernis. 

    1930
     Hollywood voit naître les étoiles légendaires du grand écran comme Jean Harlow, Gloria Swanson ou Rita Heyworth et celles-ci seront le moteur d’une nouvelle tendance: le vernis à ongles fait enfin son coming-out. Son look est de plus en plus travaillé, élégant, la "mancure-lune" est revisitée via des teintes de rouge plus prononcées. Gena Laboratories mettent au point un dissolvant, une huile pour ongles et un repousse-cuticules.

    1932 Charles Revson accompagné de son frère Joseph, chimiste, met au point avec l’aide de Charles Lachman un vernis à ongles à la couleur et la couvrance intenses.Il n’est pas fabriqué à partir de colorants mais d’une nouvelle technique de pigments, qui se dissout mieux et permet un plus grand choix de couleurs. La marque Revlon est ainsi née. La marque met au point des tonalités de rouge allant du rouge pâle au pourpre. La marque développe pour la 1ère fois dans les années 30 la tendance d’assortir rouge à lèvres et vernis à ongles.
    1934 Anna Hamburg de Californie fait breveter une couleur artificielle, facile à appliquer et à enlever, et qui n’endommage pas l’ongle. Maxwell Lappe, un dentiste de Chicago, invente le "Nu Nails", une manucure artificelle pour celles qui se rongent les ongles.
    1937 Harriet Fliegenbaum du Minnesota reçoit un brevet pour son ongle articiel, mis au point pour recréer le bout de l’ongle ou l’allonger.

    1940 Rita Hayworth met au point pour un tout nouveau look: ses longs ongles rouges sont limés en ovale et sont entièrement vernis. Fini la base de l’ongle naturelle! Des couleurs fortes font leur apparation dans les magasins, comme par exemple le "Schoolhouse Red" d‘Elisabeth Arden, qui coûtait autrefois 0,75 centimes. 
    1945 À la fin de la guerre, le maquillage retrouve sa légitimité, et les ongles ne seront pas en reste, avec non plus seulement du rouge mais aussi du rose et un large éventail de couleurs. Max Factor crée par exemple son Satin Smooth Nail Polish.

    1950 L’univers du vernis à ongles ne cesse de se parer de nouvelles couleurs, et les tendances en matière de manucure se succèdent: couleurs plus sombres, formes d’ongles pointues ou looks plus naturels aux couleurs nudes et formes ovales. Dans les années 50 apparaissent les premiers cours de manucure, prédecesseurs de nos salons d’onglerie actuels. La marque Revlon propose en ce sens un kit d’entraînement avec un équipement de base en vue de manucures professionnelles.
    1957 Thomas Slack reçoit un brevet pour son modèle, qui se place en dessous de la pointe de l’ongle et qui aide l’esthéticienne à allonger l’ongle naturel avec de l'acrylique. Cette méthode est appelée "Pattinail" et sera produite et commercialisée par Thomas Slack sous cette appellation. 

    1970 Le centenaire de l’ongle artificiel est définitivement amorcé. Les ongles en acrylique et en gel en sont désormais beaucoup plus souples et sont faciles à porter. Il devient difficile de pouvoir les distinguer des ongles naturels. La tendance est à l’ongle limé droit et la demande est belle et bien présente. Les techniques de manucure ne cessent de progresser et les ongles de plus en plus longs rencontrent une forte popularité. Aux États-Unis, ils sont même considérés comme sexy.
    1972 Apparition de vernis métalliques: bleu, vert… ils comportent des particules pailletées et dès leur entrée sur le marché, c’est le carton immédiat. Se développe ainsi la culture de couleurs plus osées pour mains et pieds en été.

    1980 L'acrylique cède son tour à la fibre de verre, qui s'impose comme LA technique du moment. Strass et autres accessoires font leur apparition également sur les manucures. Des concours de manucure sont organisés et le métier de manucure s'établit progressivement.

    1990 Cette nouvelle décennie s'annonce sous le signe de la créativité grâce à Margaret Astor, qui met au point un stylo de vernis. La marque Manhattan invente également le premier "vernis à ongles parfumé": plusieurs senteurs sont disponibles comme les fruits rouges, la vanille ou le lilas. 
    1991 Élaboré à base d'eau, le vernis peel-off de la marque Manhattan a une durée d'environ 2 jours.
    1995 Année du légendaire film "Pulp Fiction" avec Uma Thurman, où celle-ci porte le "Rouge Noir" de Chanel, lancé la même année. 

    2000 C'est le boom de la french manucure. Elle s'impose comme une norme de par son rendu naturel et discret.
    2009  Lors de la Fashion Week parisienne, Karl Lagerfeld accorde le vernis aux tenues défilé et ouvre la voie à la couleur "407 jade", un vert pomme. Armani contre-attaque avec son vernis "greige", mélange de gris et de beige, qui devient LA couleur 2010, rejointe par la suite avec la célébre "505 Particulière" de Chanel, combinant violet et gris.
    2011 alessandro, avec son Lac Sensation, lance le 1er vernis à ongles capable de tenir jusqu'à 3 semaines et ayant la même résistance qu'un gel UV. Il se pose comme un vernis standart et sèche en à peine 60 secondes sous une lampe UV.

    Merci à beautypress.fr pour toutes ces informations ! (photo : vernis Alessandro)


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  • Tout commence par la tendresse du pétale du coquelicot : en effet, il renferme des alcaloïdes qui possèdent une action sur les troubles du sommeil de l'enfant : il lui procure un sommeil serein, calme et réparateur.  Et puis, le coquelicot a des vertus hydratantes, adoucissantes. C'est un fragile, un tendre mais un puissant dans ses actions. 
    Le figuier est un être généreux et ses bourgeons sont, selon la gemmothérapie, 100 fois plus puissant que la plante à l'âge adulte. Il est calmant, relaxant, apaisant. 

    De l'union de cette tendresse du coquelicot et de la générosité du figuier nacquit Bébilou, une petite marque de Senteurs du Sud qui propose 3 produits : une crème lactée de massage, un gel lavant corps et cheveux qui est si doux que même les yeux ne pleurent pas quand le produit "gicle" dedans, et une lotion douceur qui caresse la peau sans l'assécher. 
    Ces produits sont formidables de délicatesse et pas que pour les fesses de bébé !  


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  • De l'éclat, juste ce qu'il faut, de la lumière juste où il faut, une mine resplendissante et, le tout d'une façon naturelle, avec la touche chic qu'il faut.
    Voilà, le résultat que j'ai eu avec les derniers Frosty Eyes Shadow de chez UNE.
    La fameuse poudre de MICA est formée principalement de silicate d'aluminium et de potassium, et ainsi apporte des reflets micro-nacrés naturels, mais de façon uniforme et sans migrer dans le relief des paupières. De ce fait, quand on a un certain âge et que les paupières sont un peu "froissées" il se trouve que c'est difficile de les maquiller. 
    Cependant avec ces petits produits "magiques", avec une application au doigt sur la paupière mobile, on peut se permettre d'ajouter une touche d''éclat et de lumière avec facilité. Personnellement j'ai aimé les coloris F02 et le F01. 

    Ne pas oublier non plus les Glimmer Lips Balm qui sont de véritables petites merveilles de discrétion et d'éclat subtil sans oublier de prendre soin des lèvres. 100 % d'origine naturelle avec de la cire d'abeille qui assouplit, et de la cire de candelilla qui va former un film protecteur sur les lèvres. Bien sûr, la vitamine E anti-oxydante et aux propriétés protectrices fait aussi partie des ingrédients. J'ai apprécié le baume G00 car la bouche demeure naturelle, et ainsi peut se marier avec toutes les tenues et carnations. En plus, on peut le superposer avec d'autres teintes, personnellement, j'utilise bien la couleur bois de rose. 

    En conclusion, UNE tient une fois de plus sa promesse de "naturel" mais ajoute sa touche de glamour qui fait de nous des femmes encore plus féminines.
    De quoi devenir une givrée d UNE... (photo : UNE, photographe Bruno Juminer)


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