• Tout a commencé par une curieuse mise en bouche : une crème légère, aérienne, avec de fines particules de Bambou. La peau de mon visage goûte à cet exfoliant délicat qui la rend nette, douce. Mon teint apprécie.

    Puis, une parure de perles habillent mon visage. Il s'agit d'une crème scintillante abondant en nacres et perles. Il s'illumine : il se sent roi rayonnant qui trône sur un corps savourant parallèlement des friandises lui ôtant toutes cellules inutiles, créatrices de grise mine, grâce à un plat luxueux, délicieux, le gommage or caviar.  La fragrance évoque un jardin des délices.  Immergé de bien-être, mon corps choisit alors de se glisser dans un trou normand, une mousse de bain au tendre abricot acidulé. Douillet voyage, douceur de l'abandon.

    Ensuite, une crème soufflée à la fraise et grenade lui inspire une explosion des sens comme dessert, tant la texture se fait caresse, tant la fragrance insuffle l'ivresse.

    Le chef de ce menu se nomme Blancrème et est français. Il est le fruit d'une passion d'un couple créateur de soins pour des grandes marques depuis plus de 10 ans, Nicolas Guibert et Dany Martins, et désireux de rassasier la peau de plaisirs ...cosmétiques.

    Blancrème a séduit plus de 150 boutiques, en France et à l'international. Il n'est pas encore présent dans les bottins gourmands, mais sait se répandre sur les corps gastronomes.


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  • Les Medias enfilent bien souvent le costume noir pour jouer au Batman… D’émissions en émissions diffusées aux heures de la « Dark night », le journaliste revêt son masque, à la rescousse d’un peuple en détresse face au méchant duo, le Jocker, chirurgien esthétique à la face repeinte, et son machiavélique acolyte, la société de l’image. Mais ne nous y trompons pas, on nous vend du film d’horreur et non des recettes d’émancipation. Une belle caricature de la chirurgie esthétique semble suffire à faire du chiffre : c’est la moderne foire aux monstres ! Car lorsqu’on parle à la télévision de chirurgie esthétique, ce ne sont bien souvent qu’alter ego d’un Frankenstein mal dégrossi : ici une femme, de toute évidence bien troublée, cherche à modifier l’ensemble de son visage, effrayée qu’un jour son partenaire amoureux n’en vienne à se lasser d’une mine quotidiennement identique à elle-même ; là un jeune adolescent - en psychologie on dit un « Peter Pan » - scrute avec horreur ce qu’il appelle ses premières rides de visage, allant de sites internet en sites internet à la recherche d’un chirurgien qui veuille bien retendre ce visage pourtant déjà ultra lisse ; là encore une jeune femme un peu coquette rêve de ressembler à une Barbie, persuadée que la vie d’une poupée blonde réserve amour, gloire et beauté… Bref, on comprend l’agacement des chirurgiens que j’ai pu rencontrer, ainsi du Docteur X., évoquant un choix quant au traitement de l’information dans les médias pour le moins douteux, ou du Docteur Y., déplorant que l’image que les médias transmettent de la chirurgie esthétique en soit restée aux années 80, aspects psychologiques des demandes trop souvent écartés, Interventions peu respectueuses des unités anatomiques.

    Il faut dire que le cinéma n’est pas non plus d’un grand secours : de The Awful Doctor Orlof de Jesus Franco, à La Piel que habito d’Almodovar, en passant par le très fameux Nip Tuck de Ryan Murphy, les chirurgiens esthétiques passent toujours pour des petits dangers publics, armés d’outils qui ressemblent plus à un set complet pour tortureur accompli qu’à de véritables instruments médicaux. Le lynchage médiatique de la chirurgie esthétique n’a ainsi d’égal que le dédain avec lequel on traite les patients, tous réduits à des « beauty junkies » victimes d’une
    machination dont il faudrait les sauver. A cela s’ajoute enfin le sanglant vernis du « gore », cerise sur le gâteau de cette petite farce médiatique. Mais trop tard, la faute est consommée : plus possible désormais de distinguer au sein des actes chirurgicaux ce qui peut être qualifié d’un côté de complexe semi-psychiatrique, coquetterie futile, ou consommation pour riches et de l’autre de souffrance bien réelle soignable par l’acte chirurgical. Désormais, chirurgie esthétique = « Extrême Makeover ».  Merci pour ’info ! La question doit donc être posée : dans quel cas un malaise esthétique peut-il être rangé dans la classe des maladies légitimes, soignables, médicales ? La chirurgie esthétique a-t-elle sa place au Panthéon des médecins ? S’il faut bien voir comme la question est maladroite, tant Elle présuppose déjà ce qu’elle questionne, je la prends comme elle est, parce qu’elle est dans la bouche de tous.

    Tout d’abord, réduire la souffrance d’un patient pour une chirurgie à un simple« complexe » d’adolescent boutonneux, c’est vraiment ne pas saisir L’enjeu du phénomène, moins attaché en fait à des modifications esthétiques simples, qu’à de profondes réévaluations identitaires exigeant, aussi, un corps autre.

    Ensuite, si par santé nous entendons, selon la formule bien connue, le silence des organes, c’est-à-dire la possibilité qu’a un corps d’être traversé sans encombre, de jouer, en fait, le rôle de médiateur entre nous et le monde, alors une chirurgie peut faire sens dans les cas où l’intervention apaise le bruit d’une partie corporelle au timbre grinçant ,celui du complexe , mais elle perd évidemment tout son sens dans les cas où la chirurgie, ignorante des aspects psychologiques que peut parfois comporter une telle demande, ne fait au fond que perpétuer ce bruit. Enfin, si l’on doit se demander dans quelle mesure la chirurgie esthétique appartient ou non au monde des médecins, encore faudra-t-il avant se poser la question de savoir dans quelle mesure la médecine actuelle constitue vraiment un milieu professionnel dans lequel on soigne des maladies
    effectivement handicapantes pour la poursuite de la vie, c’est-à-dire si le monde de la médecine peut vraiment se dédouaner du reproche de futilité qu’on fait aux chirurgiens esthétiques ; car malgré toutes les distinctions que l’on peut faire entre médecine et paramédecine, force est de constater qu’un médecin aujourd’hui n‘est tout simplement plus quelqu’un qui ne fait que sauver des vies, c’est aussi quelqu’un qui sauve… le quotidien, dans ses aspects les plus routiniers, les plus superficiels, les plus anodins. Alors, quelle news philo aujourd’hui ? Les médias ont refait le portrait aux chirurgiens esthétiques…

     

    Texte : Clémence Chastan, illustrations, Marine Chastan


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  •  Vivacy : voici un nom que celles ou ceux qui ont recours à la médecine esthétique voient de plus en plus apparaître dans les cabinets  médicaux.

     Vivacy est une société européenne installée en France. Le laboratoire  (Recherche et développement) ainsi que la production sont localisés à Archamps (en Haute-Savoie ) La direction commerciale se situe à Paris, dans le 16ème arrondissement.

     Quelles sont les femmes et les hommes qui ont fondé cette
    société ?

    Chimistes, biologistes, ingénieurs, pharmaciens avec plus de vingt ans d’expérience créent, développent et fabriquent les produits viscoélastiques VIVACY pour répondre aux demandes de plus en plus précises des patients et des médecins en élaborant et apportant des solutions innovantes dans tous les domaines liés à la santé et aux conséquences du vieillissement.

     Revenons à l'acide hyaluronique : qu'est-ce que c'est ?

    « Médicalement » parlant c’est un glycosaminoglycane (GAG) une substance qui est naturellement présente dans le corps. On en retrouve dans les articulations, l’œil, le derme...

    On pourrait aussi l’appeler « éponge » puisqu’il retient les liquides. En effet, il faut savoir que chaque molécule d’acide hyaluronique peut absorber de 500 à 1000 fois son volume en eau.  En vieillissant, nous avons de moins en moins d’acide hyaluronique d’où le recours extérieur notamment en médecine avec la chirurgie ophtalmique mais aussi pour l’arthrose du genou. Au vu des résultats obtenus, la médecine esthétique s’est emparée de ce produit pour son pouvoir liftant. L’acide hyaluronique a également un effet préventif du vieillissement puisqu'il pourrait augmenter la synthèse de collagène dans la peau.
    Cependant, il faut aussi savoir qu’une molécule d’acide hyaluronique libre dans l’organisme dure environ 48 h ! Voilà pourquoi il est réticulé lorsqu’ il est injecté !

     "Réticulé", qu’est-ce-que cela signifie ?

    Plus un acide hyaluronique est réticulé, plus il passe de l’état liquide à celui de gel, voir à l’état solide.

    Vivacy a donc créé sa marque d'acide hyaluronique : Stylage.
    Qu'est-ce-que ce produit présente en plus des autres produits ? 

    Stylage, c’est une union : celle d’une technologie brevetée conduisant à un résultat naturel et d’un produit sécuritaire.

    A cette union, Vivacy a encore ajouté le Mannitol : un polyalcool naturel qui provient de divers fruits et légumes, algues marines et champignons. Pourquoi ? Pour préserver l’acide hyaluronique de sa dégradation naturelle et du stress oxydatif. (tabac notamment)

    Quel type de rides, Stylage peut traiter ? 

    Tout type de rides, profondes ou non. Selon la ride, l’acide
    hyaluronique sera plus ou moins réticulé.

     Et où peut-on injecter de l’acide hyaluronique Stylage ?

    Au niveau de

    - la glabelle (ride du lion)

    - les tempes (avec l’âge cette zone du visage a tendance à se creuser)

    - les rides de la patte d’oies,

    - les cernes,

    - les pommettes et joues,

    - les sillons nasogéniens,

    - les rides jugales

    - les rides péri buccales (au dessus de la lèvres)

    - la lèvre (pour ajouter du volume)

    - les commissures labiales (coin de la bouche tombant)

    - l’ovale du visage

    - le menton

    Mais également les mains et le décolleté.

     

    Combien de temps durent les effets de Stylage ?

    Environ 12 mois, mais attention, selon le style de vie, l’hygiène de vie (si on fume, on s’expose ou non au soleil…) les effets peuvent durer plus ou moins longtemps.

    Et est-ce que cela fait mal ?

    Non, et pour les zones plus douloureuses comme les lèvres on a recourt à une anesthésie locale.

    Peut-on retourner travailler après une injection ?

    Bien sûr, il y a aucune éviction sociale.

    Il est important de noter qu’il existe des contre-indications, c’est pourquoi il est impératif que les médecins soient informés du passé médical de leur patient : maladie auto immune, herpès, traitement anti-coagulant….

     Existe-t-il des précautions ?

    Oui, ne pas se maquiller durant 12 heures après l’injection, utiliser une protection solaire avec écran total. 

    L’astuce : se mettre la veille une crème auto bronzante pour avoir bonne mine sans maquillage.

    J’ai remarqué que sur le packaging de vos produits est inscrit le marquage CE et non une AMM (autorisation de mise sur le marché) , pourquoi ?

    Parce qu’il ne nécessite pas un dispositif médical parce qu’il agit de façon mécanique. Prenons l’exemple d’un médicament : lui va agir d’une manière
    pharmacologique, immunologque ou encore métabolique.  De ce fait, une autorisation de mise sur le marché ce que l’on nomme une AMM est obligatoire.

    Je remercie le laboratoire Vivacy du temps consacré à mes questions.

    Surtout ne pas oublier que les rides ne sont pas une maladie. Il appartient à chacune, chacun de prendre ou non la décision de se faire injecter ou pas. L’essentiel est bien sûr de s’aimer soi-même, d’être bien avec soi, ainsi il en sera plus aisé d’aimer les autres et d’être bien avec eux. 

    Ajouter aussi que le charisme, l’allure, le sourire, la bienveillance… sont non injectables, agréables lorsque non résorbables et  savent nous envelopper de ce petit plus indéfinissable, une sorte de lumière qui nous nimbe. 

    Rien de plus désagréable que d’avoir en face soi, un visage lisse, comblé par de la mauvaise humeur !  


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  • Voilà que notre corps va s'exposer à tous les regards cet été. Et si nous pouvions le lisser un peu, le galber, l'amincir sans oublier de le chérir...pourquoi pas ? 

    Avant tout savez-vous que selon l'OMS les français devraient consommer en moyenne 20 % de sucre et 20 % de graisse en moins ?

    Mais comment résister, lorsqu'on est entre amis, à une si jolie pâtisserie, glissée dans un magnifique fourreau chocolat ? 

    Une solution ? Pourquoi pas tenter la dernière innovation minceur Thalgo ? En effet, les Experts en santé marine ont concentré leurs recherches sur des molécules actives capables de maîtriser et gérer les écarts ponctuels liés à une consommation de sucres et ou de graisse, et cela, tout en respectant l'équilibre naturel de l'organisme et l'apport indispensable en nutriments essentiels. 

    Parlons cactus : oui parce que Thalgo a un truc, un piège à graisse, un piège à sucre, un joujou extra qui fait crac, boum, bon débarras, et les filles oui en tombent presque à genoux.

    Ce truc : l' Opuntia ficus indica. 

    Son extrait, le NéOpuntia est obtenu par un procédé de fabrication unique et breveté. Lequel ? Euh, 17 années de recherche, 2 études cliniques, 3 études d'efficacité pour prouver la suite. 

    D'abord, sa composition unique de 2 fibres végétales aux pouvoirs anti-stockage qui agissent au niveau de l'estomac. Ces fibres vont empêcher l'assimilation des lipides alimentaires et réduire leur stockage au niveau du tissu adipeux. 

    Comment se passe...ce tour de passe-passe ?

    D'abord les fibres insolubles de NeOpuntia attirent et fixent par intéractions lipophiles les lipides alimentaires au niveau de l'estomac. Il se forme ainsi un large compexe moléculaire insoluble.

    Ensuite, les secondes fibres solubles de NeOpuntia forment un gel isolant autour du complexe formé. Cette capture irréversible isole les lipides alimentaires des enzymes digestives (lipases) et s'oppose à leur dégradation en fractions assimilables. De ce fait, ces lipides sont naturellement éliminés sans pouvoir être assimilés au niveau de la paroi intestinale. 

    Un autre piège ? La spiruline, la fameuse algue d'eau douce, en forme de spirale, dotée de propriétés exceptionnelles. Les dernières études scientifiques sur cette algue ont démontré qu'elle s'oppose à l'absoption des sucres complexes apportés par l'alimentaion. Elle limite ainsi le passage sanguin du glucose et son stockage sous forme de triglycérides. Ce ménanisme repose sur le pouvoir d'inhibition de l'alpha amylase, enzyme digestive responsable de la dégradation des sucres complexes en sucres simples. Et sans cette étape de fragmentation, l'assimilation de ces sucres est bloquée et ils se trouvent totalement éliminés !

    Vous me direz : oui, mais...la prise de capteurs de graisse ou la consommation de fibres alimnetaires peuvent générer un déficit en vitamine essentielles liposolubles. Donc, l'élimination de ces vitamines sera favorisée au détriment de leur assimilation. 

    Attendez la suite...

    Pour compenser la portion de vitamines liposolubles pouvant être éliminées lors de l'utilisation de Slim Control, les experts en recherche nutritionnelle ont créé une technologie inédite de micro-encapsulation des vitamines essentielles, sous forme de micro-billes gastro-résistantes afin de prévenir leur capture au niveau de l'estomac. Aussi, par délivrance contrôlée, cette technique libère les micro-billes au niveau de l'intestin où elles sont naturellement assimilées par l'organisme. 

    Pour résumer : Slim Control de Thalgo est le premier complément alimentaire qui capte la graisse, le sucre et qui fournit 100 % des apports journaliers en vitamines A, D, E. 

    Evidemment, en cas de doute quant à votre santé, avant de prendre des compléments alimentaires, il est recommandé d'en parler à votre médecin traitant.  De même, que Slim Control se fait sous forme de cure. Que ce n'est pas parce qu'on consomme 10 sticks en une journée que l'on va mincir. Respectez le mode d'emploi. 

    Et à cela, on ajoute, un peu de marche, de la montée des marches...d'escaliers, des massages lorsqu'on applique sa crème anti-rondeur, un joli sourire, et hop, la star, c'est qui ? C'est vous et c'est moi ! Na !


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  • Connais-tu ma savoureuse salade de fruits, non défendus, un brin sauvagement dévoilés ? Serais-tu tenté par mes divines gourmandises, de noir et de rouge habillées ?

    Approche, attention tu plonges dans la collection Mystère. 

    En Comtesse je réplique et me la joue sexy, mais c'est en Marquise que je te séduis.

    Les corbeilles d'Assia regorgent de tant d'appétences, qu'elles ne peuvent que t'offrir leur excellence. Cependant, toi, as-tu quelques soupçons d'extravagance ?

    La collection Plume décrit un jardin de délices. Toutefois, c'est dessous des broderies Tilleul que la marguerite s'effeuille. La peau de pêche se laisse aller à de tendres caresses. La ligne Romance s'inscrit sous le signe de la collection Céleste : ainsi les jolies fleurs ouvrent leur coeur, les fruits se cueillent par grappes de bonheur. 

    Assia, créatrice de lingerie féminine transforme les femmes en Eve presque fatales. Et les Adam ? Ils se plaisent à croquer les pommes sans aucun pépin.

    Assia, ainsi Eve soit-elle... (photo : Assia)


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